Décidément cette semaine je ne trouve pas de sujet intéressant à aborder. Je vais donc faire une entrée super générique. À la fin, vous allez vous dire, « de quoi ça parlait ce texte? », quand a-t-il débuté. Je vous le dis tout de suite, c’est simple, il n’a jamais débuté. Sans vous en rendre compte, j’ai écrit plusieurs mots sans jamais rien dire. C’est comme quand on rencontre un ami sur la route et on lui dit: « Salut, ça va? ». Une simple phrase qui ne mène à rien. Mais est-ce vraiment nécessaire de toujours avancer. Est-ce que c’est possible de faire du sur place?
Et non je n’ai pas encore commencé mon texte. Oui, j’ai terminé mon paragraphe par une question, et puis? Ça change quoi? Écrire des mots c’est simple, écrire des phrases c’est plus compliqué, surtout quand on cherche à transmettre une idée. Ces philosophes qui se sentent obligés d’écrire de longs mots compliqués. Peut-être qu’ils font comme moi, ils avaient un quota de minimale de mots à écrire. Il le faisait sans doute pour subvenir au besoin de leurs familles. J’entends déjà le son de vos claviers claqués sur cette supposition de bas niveau. Peut-être que c’est justement mon intention, vous faire réagir. Vous obliger vous aussi à taper des mots.
Ce billet est un peu comme dans le film qu’on a vu cette semaine. C’était très long, on montrait des images et on supposait que le spectateur chercherait à faire des liens. Est-ce que ce film avait vraiment une signification? On nous montre des images et elles doivent nécessairement renfermer des idées. Si l’auteur ne voulait rien dire, est-ce qu’on s’en rendrait compte? Ce long texte cache-t-il des idées? Peut-être bien. En tout cas, vous pouvez le lire dans tous les sens et je suis certain que vous en trouverez. Peu importe, j’ai atteint mes 300 mots.