Juste un billet comme ça

Décidément cette semaine je ne trouve pas de sujet intéressant à aborder. Je vais donc faire une entrée super générique. À la fin, vous allez vous dire, « de quoi ça parlait ce texte? », quand a-t-il débuté. Je vous le dis tout de suite, c’est simple, il n’a jamais débuté. Sans vous en rendre compte, j’ai écrit plusieurs mots sans jamais rien dire. C’est comme quand on rencontre un ami sur la route et on lui dit: « Salut, ça va? ». Une simple phrase qui ne mène à rien. Mais est-ce vraiment nécessaire de toujours avancer. Est-ce que c’est possible de faire du sur place?

Et non je n’ai pas encore commencé mon texte. Oui, j’ai terminé mon paragraphe par une question, et puis? Ça change quoi? Écrire des mots c’est simple, écrire des phrases c’est plus compliqué, surtout quand on cherche à transmettre une idée. Ces philosophes qui se sentent obligés d’écrire de longs mots compliqués. Peut-être qu’ils font comme moi, ils avaient un quota de minimale de mots à écrire. Il le faisait sans doute pour subvenir au besoin de leurs familles. J’entends déjà le son de vos claviers claqués sur cette supposition de bas niveau. Peut-être que c’est justement mon intention, vous faire réagir. Vous obliger vous aussi à taper des mots.

Ce billet est un peu comme dans le film qu’on a vu cette semaine. C’était très long, on montrait des images et on supposait que le spectateur chercherait à faire des liens. Est-ce que ce film avait vraiment une signification? On nous montre des images et elles doivent nécessairement renfermer des idées. Si l’auteur ne voulait rien dire, est-ce qu’on s’en rendrait compte? Ce long texte cache-t-il des idées? Peut-être bien. En tout cas, vous pouvez le lire dans tous les sens et je suis certain que vous en trouverez. Peu importe, j’ai atteint mes 300 mots.

Ah non, pas encore une pub…

Jusqu’où les annonceurs sont-ils prêt-à allé pour nous vendre une voiture, une assurance, des articles « que j’aurais jamais pensé avoir besoin »? La publicité est partout, sur le bord de la route, dans notre boite aux lettres, à la télé et sur internet. Que faire pour ne pas les voir? Aller dormir?

Eh bien non! Dans cette vidéo, on nous transporte dans le monde du rêve qui a été complètement perverti par les publicités de Coca Cola. Rien qu’en voyant l’ours ou les motifs sur le dos de la coccinelle, la plupart d’entre vous l’ont reconnue. Ses associations nous reviennent facilement en tête grâce à ces dizaines, centaines et voir milliers d’images que Coke nous a transmises (consciemment ou non) dans ses publicités à travers les années.

Aliénation

Tout cela va dans le sens de la pensée des théoriciens de l’école de Francfort. Qui ne connaît pas par cœur un slogan ou une chanson apparue dans une publicité. Ses médias de masse influencent nos choix et nos habitudes. Les publicités nous conditionnent à acheter ces produits. Notre quête de divertissement nous pousse à accepter ses images, et ce malgré le fait qu’elle puisse nous déranger.

Qui blâmer?

Dans notre société, où l’ont doit se démarquer pour réussir, je crois qu’il est tout à fait normal et légitime de voir se comportement venant de Coke. Dans l’exemple on parle de Coca Cola, mais on aurait facilement pu l’interchanger avec Pepsi, Doritos, McDonald ou autre.

De plus, « nous » en tan que consommateur demandons plus que jamais ce contenu gratuit (qui est payé par la pub). Si nous n’étions pas tombés dans ce piège, ses images abusives existeraient en quantité bien moins grande, je crois.

Est-ce vraiment notre faute? Êtes-vous « tanné » de ces pubs?

Frank et l’écologie

Qui est Frank?

Frank est le fils d’un agriculteur belge. Il a déménagé aux États-Unis lorsqu’il n’était qu’un jeune adulte. Il s’est acheté des terres et les a cultivés pendant près de dix ans. Il a tout vendu puis s’est installé en Saskatchewan. Il possède actuellement des lots de terre totalisant près de 10 000 acres (40 km2). Ce qui est bien différent d’ici! Mon père en enviera 800 acres et est un des plus grands du coin. Il est venu chez nous pour visiter notre ferme, mais principalement pour discuter avec mon père. Lors du souper, il nous a parlé de son point de vue sur l’écologie.

Son point de vue

D’abord, il nous a expliqué que les écologistes prennent le problème à l’envers concernant les réchauffements climatiques. En effet, l’homme a toujours trouvé des solutions pour s’adapter, et ce dans n’importe quelle situation. Ces scientifiques, au lieu de chercher des solutions pour adapter l’homme au changement, cherchent à ralentir le processus d’augmentation de la température.

Ensuite, Frank nous a expliqué que ces réchauffements seraient un atout important pour les producteurs d’ici et idem pour ceux de son milieu. Mon père a pu confirmer ces dires. L’augmentation de température globale a déjà permis une amélioration considérable des rendements au cours des dernières années. De plus, certaine céréale telle que le maïs, qui étais peu envisageable il a quelque dizaine d’années, son maintenant cultivable dans la région. Autrement dit, plus la température augmente, plus les champs produisent. De plus, il a mentionné l’augmentation du dioxyde de carbone dans l’air augmente la croissance des plantes qui la consomme (ça m’a rappelé cette publicité qu’on devait critiquée au secondaire). Dans certaines serres, les producteurs ajoutent du dioxyde de carbone dans l’air pour favoriser la croissance des légumes.

Enfin, il y a les problèmes que causeraient les réchauffements. La fonte des glaciers et l’augmentation du niveau d’eau globale des océans et causerait l’inondation des plus grandes villes de ce monde. Pour Frank, ça n’est pas un problème pour nous. Pourquoi devrait-on se priver de “polluer” puisque ça nous avantage? Et si c’était l’inverse, si le réchauffement nous désavantageait et les avantageait eux, feraient-ils vraiment des efforts pour nous?

Ma réflexion

Frank a une opinion très différente de la masse et très opposer à ce que la société nous éduque depuis plusieurs années. Ces intérêts semblent très simples, faire davantage de profit. Mais peut-on vraiment le blâmer pour ça? Dans une société capitaliste, basée sur la consommation de bien, on nous apprend que pour réussir on doit avoir de l’argent. Dans cette même société où l’on nous demande de réduire notre empreinte écologique. J’ai beaucoup apprécié le côté optimiste de Frank. Au lieu de faire comme tout le monde et dire: “Maudit, c’est ben plate les réchauffements climatiques! Pourquoi tout le monde n’arrête pas de polluer?”, il dit: « Comment pourrait-on s’adapter? », « Comment le monde relèvera ce défi? ».

Qu’en pensez-vous?

Parlons des fameux DLC

« Les dl…quoi? »

Les DLC ou downloadable contents sont en fait du contenu additionnel que les développeurs de jeux vidéo vendent ou offre gratuitement aux joueurs pour enrichir leur expérience dans le jeu de base. C’est un peu l’équivalent des plug-ins vendu séparément dans les logiciels Adobe. Généralement, Les DLC sont vendues et permettent aux développeurs d’être financés au profit des fans.

« Wow! Ça semble super! »

Ce n’est pas ce que plusieurs joueurs pensent actuellement. En effet, il y a quelque côté effet pervers:

Les DLC ne sont pas achetés par tout le monde, donc si on parle d’un jeu multijoueurs on risque de diviser la communauté. D’un côté ceux qui ont le DLC, de l’autre ceux qui ne l’on pas. Dans certains jeux, les extensions donnent des avantages très intéressants qui peuvent grandement nuire aux autres qui ne l’ont pas. Dans d’autres cas, les joueurs ne pourront simplement plus jouer ensemble.

À la sortie de certains jeux, on parle déjà d’une sortie de 4 DLC avec la possibilité d’achat d’un season pass (Call of duty) ou pack premium (Battlefield). Cela donne accès à tout le contenu qui sortira. Certains le vendent maintenant au même prix que le jeu. Le problème est que les jeux semblent être moins complets à leurs sorties et les joueurs arrêtent d’y jouer avant la sortie des packs.

« Pas tellement intéressant finalement… »

Il n’y pas que du négatif aux DLC. Cela a permis à certains jeux, où le développement était arrêté, de poursuivre. Par exemple le jeu Borderland II ou The Elder Scrolls V : Skyrim (et bien d’autres) où les développeurs ont ajouté plusieurs heures de contenues.

« Que penser alors? »

Selon moi, les DLC sont une bonne chose, cependant, il ne devrait pas être prévu à la sortie du jeu. En fait, dans certains cas je crois qu’il serait préférable que les jeux soient vendus légèrement plus cher pour éviter de se retrouver avec les effets négatifs décrits ci-dessus. De cette façon, tout le monde pourrait profiter du jeu à son maximum, avec une sortie complète différée.

« He… des jeux à accès anticipé? »

Oui presque! Dans ce système, les joueurs donnent leur avis pendant le développement. C’est une pratique de plus en plus rependue, surtout pour les jeux indépendants. Il ne serait pas étonnant de voir de grosse franchise (EA, Ubisoft, Activision) intégré cette pratique d’ici quelque année.

Qu’en pensez-vous?